PREMIÈRE PARTIE[2]
Car, en affirmant au lecteur qu’il va aborder le livre par une « première partie », on lui donne indirectement l’assurance que l’ouvrage en comportera au moins deux. Or, pour qu’il y ait lieu à une deuxième partie, il faut obligatoirement qu’il se soit passé quelque chose au cours de la première, vous pigez ?
Il y a tellement de livres qui ne renferment rien !